Résumé : |
Cement and concrete research, USA, 1991, 21, n 5, 718-726 Une hypothèse sur la formation de la zone de transition entre le granulat non poreux et la pâte de ciment Portland est proposée. Conjointement aux modèles de conductivité électrique de la zone de transition et de la pâte, elle est utilisée pour expliquer les phénomènes observés lors des essais de conduction électrique. Elle considère que la couche d'eau sur la surface du granulat joue un rôle très important dans la formation de la zone de transition et qu'il existe une "région d'influence" renfermant quelques couches de particules de ciment à proximité de la couche d'eau. Cette région représente une partie de la zone de transition à partir du début du malaxage. Les particules de ciment dans cette région sont les sources des hydrates dans la zone de transition entière. Les résultats des essais de conductivité dans l'étude de l'interface peuvent être expliqués d'après les modèles développés.
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