Résumé : |
Materials and structures, FRA, 1991, 24, n 143, 346-350 Afin de disposer de méthodes in situ de diagnostic de la vitesse de détérioration dans les ouvrages en béton armé, deux nouvelles méthodes sont proposées, dérivées de la méthode de la résistance de polarisation, mais différentes de celle-ci parce qu'elles s'appliquent aux ouvrages eux-mêmes, malgré la distribution non uniforme des signaux électriques. Les deux méthodes sont d'une simplicité et d'une fiabilité comparables à celles offertes par la mesure directe de la résistance de polarisation.
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