Résumé : |
ACI materials journal, USA, 2005, 102, n 4, 272-278 Etude expérimentale de l'influence de la température de conservation des éprouvettes (en immersion isotherme régulée aux paliers de 15, 25 ou 35 °C ou en immersion adiabatique avec une température évoluant entre 25 et 50 °C ou en immersion comportant après une préprise de 12 heures à 15 ou à 50 °C, approximativement un cycle de température présentant un palier de 12 heures à 50 °C suivi d'un cycle de 12 heures constitué d'une descente rapide de 50 à 15 °C puis d'une remontée lente de la température de 15 à 50 °C) au cours de l'hydratation et du début de durcissement (96 heures) de pâtes, de mortiers (de ciment Portland et de rapport E/C égal à 0,50) et de bétons (de ciment Portland, avec un rapport E/C de 0,32 et un plus gros granulat de 16 mm de diamètre) sur la relation implicite entre la résistance à la compression mesurée en référence aux normes ASTM C109 et C39 et les pertes d'énergie par réflexion d'ondes transversales ultrasoniques dans les pâtes, mortiers et bétons (estimées par le coefficient de réflexion des ondes ultrasoniques transversales, lui-même déterminé à partir de la transformation rapide de Fourier dans le domaine des fréquences, du signal direct enregistré dans le domaine temporel). Comparaison des dépendances fonctionnelles ainsi obtenues avec des relations "résistance à la compression mesurée sur presse/ coefficient d'amortissement des ondes ultrasoniques longitudinales" établies par d'autres auteurs, aux paliers de températures de 20, 35, 50 et 65 °C et mise en évidence d'un domaine de robustesse de la relation eu égard à la température.
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