Résumé : |
Annales du bâtiment et des travaux publics, FRA, 2007, n 4, 20-40 Descriptif des techniques non destructives employées : radar (réflexion d'ondes électromagnétiques), mesure de la résistivité électrique, propagation d'ondes ultrasonores, propagation d'ondes sismiques, méthode capacitive (fréquence de résonance d'un circuit oscillant entre 2 électrodes posées sur le béton), auscultation par thermographie infra-rouge. Présentation des résultats d'une étude de sensibilité sur un ouvrage dégradé (pont d'Empalot de type bow-string enjambant la Garonne) : localisation des zones dégradées sur toute la surface du tablier, sur l'intrados et sur les tirants. Etude de la sensibilité des différentes méthodes à certains types de dégradation (carbonatation, pénétration des chlorures, variation de la teneur en eau, macrofissuration), effectuée en laboratoire sur des corps d'épreuve (dalle 60 x 60 x 12 cm en béton armé ou non armé) préparés avec trois compositions de béton (B25, B40 et B60) : réalisation d'essai croisés faisant intervenir les différentes techniques pour évaluer un même type de dégradation, analyse des corrélations entre le paramètre mesuré par les techniques non destructives et les teneurs en eau, les teneurs en chlorures et l'état de fissuration des dalles. Validation de l'étude de sensibilité sur deux exemples d'ouvrages endommagés (Pont de La Marque dans le département du Nord, conduit Matière en béton armé permettant le passage d'un cours d'eau dans les Hautes-Pyrénées).
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