Résumé : |
Cement and concrete composites, GBR, 2008, 30, n 4, 327-333 Influence de l'application à faible vitesse, d'un historique de chargement initial monotone, statique (jusqu'à 0 % ; 28 % ; 56 % ou 80 % de la résistance à la compression à 28 jours) à un béton (0/10 mm, résistance à la compression 17,0 MPa à 28 jours, formulé avec un ciment Portland de type 42,5R, un sable de rivière, un granulat concassé) sur la sensibilité à la vitesse de déformation imposée au béton (résistance dynamique à la compression, module élastique, mode de ruine), ensuite sollicité à l'âge d'au moins 600 jours par une charge dynamique appliquée à vitesse élevée (quatre niveaux (en 1/s) jusqu'à la ruine, de 1/100 000 à 1/100). Etablissement d'une relation linéaire entre le facteur de résistance dynamique et le logarithme de la vitesse relative de déformation (en référence à la vitesse statique de 1/100000) obtenue par approximation de résultats d'essais puis, d'un modèle linéaire entre la contrainte dynamique de ruine et la contrainte statique maximale initiale. Etude de l'influence sur la loi de comportement du béton, de la vitesse de déformation au pic de contrainte ainsi que de l'historique des charges statiques appliquées. Validation des modèles par comparaison des prédictions avec un jeu de résultats d'essais. Description des mécanismes physiques d'amélioration de la résistance aux vitesses de déformation élevées, après des historiques de chargement sous différentes contraintes statiques.
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