Résumé : |
Materials and structures, FRA, 2008, 41, n 4, 621-632 Etude expérimentale de la criticité des paramètres d'une méthode initiale d'estimation (en contrôle production) de la durabilité des bétons durcis (saturés par immersion dans l'eau à 20 °C) à partir de mesures "deux points" de la résistivité électrique du béton (en courant alternatif de basse fréquence (50 - 1000 Hz) sur éprouvette (recevant après immersion et essuyage un film de peinture pigmentée de poussières d'argent) placée entre deux électrodes en acier inoxydable). Etude sur cinq bétons de classes de résistance C32/40 (BS-EN 206-1 et BS 8500-1) formulés avec 5 types de ciment (CEM I ; CEM II A-D, CEM II B-V, CEM IIIA, CEM III B) de l'influence de deux facteurs, sur la sensibilité de la mesure de la résistivité électrique du béton (20 °C, 50 %) HR d'une éprouvette (à 128 Hz, avec correction de la résistivité de l'interface solution-éprouvette) par une méthode innovante saturant l'interface électrode-éprouvette non pas par un film d'Ag mais avec un gel synthétique conducteur ionique, remplissant des mini-forages de faible profondeur, carottés dans le béton de l'éprouvette en regard des deux électrodes : 5 types de solution électrolytique de contact (eau ; solution aqueuse de Ca OH 0,014 M ou 0,028 M ; de Na Cl 1M ou 5M) ; pression de contact à l'interface. Proposition d'amélioration de la procédure en utilisant des solutions électrolytiques et pressions de contact de référence à l'interface béton-électrode.
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